A travers 68 textes décrivant chacun un objet, F. Bon offre des descriptions de la classe populaire française des années 1960-1970 et de son savoir-faire tout en mettant en lumière les avancées technologiques des années 1990.
A travers 68 textes décrivant chacun un objet, F. Bon offre des descriptions de la classe populaire française des années 1960-1970 et de son savoir-faire tout en mettant en lumière les avancées technologiques des années 1990.
A travers 68 textes décrivant chacun un objet, F. Bon offre des descriptions de la classe populaire française des années 1960-1970 et de son savoir-faire tout en mettant en lumière les avancées technologiques des années 1990.
A travers 68 textes décrivant chacun un objet, F. Bon offre des descriptions de la classe populaire française des années 1960-1970 et de son savoir-faire tout en mettant en lumière les avancées technologiques des années 1990.
"Une petite ville dans laquelle deux ans durant, on va une fois par semaine. Les gens et leurs visages, les paroles qu'on a reçues, et la ville elle-même, dans son trou de montagne : la terre, des usines mortes, des maisons sans toit." (François Bon).
A travers 68 textes décrivant chacun un objet, F. Bon offre des descriptions de la classe populaire française des années 1960-1970 et de son savoir-faire tout en mettant en lumière les avancées technologiques des années 1990.
Plus fort que les Beatles, plus haut que les Stones. La décennie 70 est celle de Led Zep, dont le groupe anglais est l'exact marqueur : entre 1968 et 1980, deux musiciens de studio aguerris, deux amateurs d'à peine vingt ans et un producteur ancien catcheur dynamitent les canons de la pop music tout en brisant les derniers tabous d'une société déjà sens dessus dessous - sexe, drogue, alcool. Douze années, neuf albums, et le mystère à percer : que s'est-il joué alors pour que, quarante ans après, l'icône soit intacte ?
Une nuit d'hiver, l'hôtel Hilton de Montréal s'enflamme alors que des écrivains français sont venus y loger à l'occasion du Salon du livre. François Bon est parmi ceux-là et relate cet incendie comme une allégorie de la ville et la ville comme une allégorie du monde. Il décrit l'évacuation en catastrophe, les coulisses de l'hôtel, les rencontres avec des écrivains tels M. Levy, O. et J. Rolin.